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Pandinavia devient climatiquement neutre.
En collaboration avec ClimatePartner, Pandinavia compense depuis cette année ses émissions de CO2, ce qui en fait une entreprise climatiquement neutre. Désormais, nos clients peuvent également commander leurs produits promotionnels avec une contribution volontaire à la protection du climat.
Contribution volontaire à la protection du climat.
Aidez-nous dès à présent à réduire les gaz effet de serre. Nous le faisons, vous aussi ? Apportez dès aujourd’hui votre contribution à l'environnement.
Qu'entend-on par climatiquement neutre ?
Les entreprises, les produits ainsi que les processus, dont les émissions de CO2 sont calculés et compensés en soutenant des projets de protection du climat reconnus au niveau international, sont climatiquement neutres. Aussi, en compensant le CO₂ émit, l'entreprise ou le produit concerné reçoit le statut de climatiquement neutre.
Outre éviter et réduire les émissions de CO2, les compenser est également important pour la protection globale du climat. Les gaz à effet de serre tels que le CO2 se diffusent uniformément dans l’atmosphère, cela signifie que la concentration en gaz à effet de serre est relativement la même partout dans le monde. Les émissions qui ne peuvent pas être évitées à l’échelle locale, peuvent ainsi être compensées grâce à des projets de protection du climat mis en œuvre ailleurs.

Projets de protection du climat
Pandinavia AG a décidé de soutenir trois projets de protection du climat : l’eau potable à Madagascar, le biogaz de Suzhou et la protection de la forêt tropicale au Brésil.
Projet d'eau potable à Madagascar
Dans les zones rurales malgaches, seulement 5% de la population a accès à l'eau potable. Le reste de la population puise l’eau dans des puits ouverts, creusés à la main et pour la plupart peu profonds. Cette eau étant souvent contaminée, la diarrhée devient une maladie mortelle et est responsable d’une mortalité infantile élevée. Faire bouillir l’eau la rend de meilleure qualité, mais pour la plupart de la population, cela n’est possible que sur des feux ouverts.
Pour ce projet de protection du climat, un approvisionnement en eau a été mis en place à l’aide de pompes solaires, simples et peu coûteuses. L'eau est pompée dans des puits sûrs et profondément forés, puis elle est acheminée dans de hauts réservoirs. Cette eau alimente des puits publics, des installations sanitaires ainsi que l'irrigation des champs. 6 500 habitants de 5 villages ont déjà accès à cette eau.
Ce projet évite les émissions de CO2 produites lors de la cuisson de l’eau. Il évite surtout les maladies, qui ont longtemps sévi dans le monde, et permet aux agriculteurs de cultiver, d’alimenter leur bétail et de nourrir leur famille.
Ce projet économise environ 10 000 tonnes de CO2 par an, qui seraient produites par la combustion du bois pour faire chauffer l’eau.
Biogaz de Suzhou, Chine
Les usines à gaz de décharge utilisent le gaz produit par la décomposition de matières organiques, afin de produire de l'électricité. L’instigateur de ce projet est le « Ever-bright Environment and Energy Suzhou Landfill Gas to Energy Co., Ltd ». L’usine capte les gaz de méthane, qui s'échappent des déchets, et les brûlent dans une centrale de cogénération. Ce procédé génère de l'électricité qui est ensuite introduite dans le réseau électrique local, afin de répondre aux besoins énergétiques croissants de la Chine. L’usine contribue ainsi à assurer l’approvisionnement en électricité de la population locale. La valorisation des déchets est une excellente alternative à la combustion du charbon, qui représentait jusqu'à présent plus de 80% de la production énergétique nationale.
Selon le constructeur de l'installation, l’usine produit en moyenne 23 314 MWh d'électricité par an (données vérifiées). Cela équivaut à une réduction annuelle de 134 000 tonnes de CO2. Ce projet répond de ce fait aux critères du Gold Standard.
Protection de la forêt tropicale du Pará, au Brésil
Le « Várzea » du Pará, situé dans l'estuaire de l'Amazone, est un écosystème particulier et unique. À cet endroit, se trouve l’île de Marajó sur laquelle vivent, depuis des siècles, de petits agriculteurs. Par ailleurs, l’exploitation de l'Amazone pour l’irrigation de l'agriculture et pour l'élevage, a pour conséquence le déboisement de plus en plus de surfaces.
Le projet « Ecomapuá », qui s’étend sur une surface de 90 000 hectares, protège la forêt et interdit la déforestation commerciale. Comme source de revenu alternatif, les 94 familles résidentes vivent par exemple du commerce de l’açaí. Fruit qui n'est pas seulement consommé au Brésil, mais aussi apprécié dans les pays industrialisés, où il est de plus en plus populaire. Ce projet, favorisant le développement dans l'une des régions les plus pauvres du nord-est du Brésil, est d’une part certifié par le Social Carbon Standard et d’autre part certifié par le Verified Carbon Standard. La préservation de 90 000 hectares de forêt tropicale représente une économie de 145 000 tonnes de CO2 par an.
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